- tranchées. A ce même moment arrive le lieutenant des mitrailleuses Roland et avec ses mitrailleuses et il était en avant aussi lui il était vanné aussi lui et il me dit qu’est ce que c’est ça je lui dit je n’en sait rien c’était au moment ou les hommes traversait le ruisseau et il me dit allez vous en de la que je m’y installe, et je sort de la tranchée moi et mes camarades pour ne plus les gener et je vais pour me mettre avec les camarades de ma section mais les tranchées étaient complète par ceux qui venait de battre en retraite et moi et plusieurs de mes camarades durent se porter en arrière pendant trois ou quatre cent mètre sous le feu ennemi qui tirais toujours ; car il nous voyait Puis j’arrive dans la tranchée où nous étions le matin et l’artillerie se mit à tirer d’avantage arrive la un soldat qui avait assisté à la manœuvre nous raconte son histoire. La compagnie avait perdu aux environs de cent morts et c’est la qu’est resté le cousin de mon frère Louis Joubert
- Le soir après la tombée de la nuit je rejoint ma section et on se porte en avant du ruisseau et tout près à quelque mètre et deux lignes de tranchées nous étions dans l’eau dans de la terre comme de la boue et encore pour nous ennuyer il est tombé de l’eau une partie de la nuit . La nuit nous faisions quelques patrouilles dans une ferme qui brûlait devant nous ou s’était battu la compagnie attigé. Nous recevions toujours des balles ennemies et nous faisions des feux de sol aussi nous crainte que l’ennemi avance moins vite. Il y avait des blessés français tourru la meule de paille de la ferme qu’on pu retiré des blessés de la 24ème compagnie ils doivent avoir brûlé avec la meule de paille car on les a jamais revu ; d’autre était restés dans le petit bois en avant du ruisseau ils passèrent la nuit sous la pluie et le lendemain on le voyait baillé la mort sans aucun secours (C’était la guerre)